À la fin du XIIe siècle, de nouvelles polyphonies résonnent sous les voûtes de Notre-Dame de Paris en pleine construction. Passant de 2, à 3 voix, puis à 4, équivalentes de la nouvelle architecture gothique, elles se caractérisent par leur audace d’écriture et leur vocalité somptueuse pouvant atteindre de larges proportions. Dès le XIIIe siècle, elles deviennent le modèle pour l’Europe et le fondement de notre polyphonie occidentale. Elles nous émerveillent encore par leur beauté et leur modernité.
Spécialiste du répertoire médiéval, Diabolus in musica nous restitue ces joyaux sonores – organums, conduits – de Léonin, Pérotin le Grand et autres chantres anonymes de Notre-Dame de Paris, dans la majestueuse collégiale de Tournon, chef d’œuvre gothique du XIVe siècle.

Afin d’explorer les immenses possibilités du violoncelle, Valentin Catil a créé son sextuor, Uni Celli.
Les six artistes accomplis apportent chacun leur personnalité et leur talent à cet édifice sonore ; puissance, virtuosité, profondeur et intimité se dégagent de l’ensemble.

Programme d’œuvres orchestrales d’Antonio Vivaldi, Ludwig van Beethoven, Anton Dvorak, John Williams arrangées pour sextuor par Valentin Catil.

On ne se lasse pas d’entendre le chant du cygne mozartien, son chef d’œuvre ultime, sa propre messe des morts. Ce sublime Requiem est interprété dans sa version originale, par 22 musiciens sur instruments anciens, 4 solistes et 50 choristes réunis autour du Chœur Madrigal, pour un grand moment d’émotion collective.

Programme : W.A Mozart/ J.-S. Bach, Adagio et fugue K 404, W.A Mozart, Laudate Dominum K 339, Requiem K 626.

On ne se lasse pas d’entendre le chant du cygne mozartien, son chef d’œuvre ultime, sa propre messe des morts. Ce sublime Requiem est interprété dans sa version originale, par 22 musiciens sur instruments anciens, 4 solistes et 50 choristes réunis autour du Chœur Madrigal, pour un grand moment d’émotion collective.

Programme : W.A Mozart/ J.-S. Bach, Adagio et fugue K 404, W.A Mozart, Laudate Dominum K 339, Requiem K 626.

Née dans une famille de mélomanes, Colette découvre le monde du spectacle en 1910 et fait l’expérience de la scène. Jouant la pantomime, elle part en tournée avec une troupe de saltimbanques. Elle nous raconte sa vie d’artiste dans L’Envers du music-hall : les théâtres, les salons, les caf’conc’, les trains, les hôtels, la fatigue, mais toujours la force de jouer et le plaisir d’être regardée.

Musiques de Debussy, Satie, Poulenc, Honegger, Messager sur des textes de Colette, Apollinaire, Anouilh, Verlaine, Louÿs, Guitry, …

Dans les bois ludiques, initiatiques, parfois maléfiques, entre humour, rêverie et poésie, cette promenade théâtrale et musicale permet de découvrir des contes, des légendes, des poèmes où il est question d’amour, de mystères, de murmures, de solidarité et d’écologie tissés avec des musiques d’influences multiples, des subtilités harmoniques des musiques occidentales à la liberté des traditions orales.  Public familial.

Annick BOURGOIN conteuse & chanteuse et Marc LAURAS compositeur & violoncelliste.

Maître de l’animation japonaise, Miyazaki résonne aux oreilles des petits et des grands : Princesse Mononoké, Ponyo sur la falaise, Le Château ambulant ou Mon voisin Totoro. Entre récits mystérieux et aventures la musique prend une place singulière dans la réalisation de ces longs-métrages. Un hymne à la rêverie…
Tout public. Représentations scolaires en cours de programmation en partenariat avec Cordes Ballade et Arche-Agglo.